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Pathology – The everlasting plague

Be brutal or die ! Et ça, Pathology l’a très bien compris ! Après 15 ans d’existence, les californiens sortent leur 11ème album, nommé sobrement The everlating plague. Rien que le titre en dit long. Il y a quelque temps, je connaissais ce groupe uniquement de nom, mais je savais déjà qu’il envoyait du sur-lourd. Puis j’ai écouté leur dernier ouvrage… comment dire ? Quelqu’un a des cervicales de rechange ? Une véritable tuerie ! De la brutalité, de la rapidité, de l’agressivité,… Et plein d’autres choses en « é ». 

Les mecs sont des futures têtes d’affiche en terme de métal extrême. J’ai donc découvert Pathology en écoutant avec le single « Engaging in Homicide », et rien que là, j’ai été conquis. Ils ont ensuite sorti « As the entrails wither » et « Dirge for the infected », ce qui a confirmé mon attirance pour ce groupe. Les 12 tracks présentes sur cet opus sont d’une qualité indéniable. Surtout que, contrairement à bon nombre de groupes de Brutal Death, il y a un petit côté épique dans leurs sons. Ce qui me plaît énormément. Si en plus de ça, on compte les breakdowns, on appelle ça une raclée. Je développe une réelle attirance pour les styles extrêmes ces derniers temps. 

Ok, j’ai toujours défini le Thrash comme mon style favori (N’en déplaise à Max Yme), mais ça ne fait qu’à peine une petite année que je m’intéresse à des styles comme le Black Atmosphérique, le Grindcore ou, dans le cas présent le Brutal Death. J’avais déjà développé une certaine attirance pour des groupes comme Benighted ou Aborted, mais ce n’est pas parce qu’on aime un groupe ou deux qu’on peut se définir comme fan du genre en question. Y’a qu’à voir avec moi, j’ai horreur du Glam Metal, mais j’adore Twisted Sisters…. mais là n’est pas la question, c’est juste pour dire que grâce à Pathology, la scène Brutal Death m’attire de plus en plus. 

Ce côté tragique, épique me plaît tout à fait. C’est d’ailleurs LE groupe que je conseille pour débuter en terme de Death bien bourrin. Et un p’tit truc en plus, c’est les paroles (Pour ceux qui les comprennent). Ce sont des paroles tristes, brutales, mais surtout réelles…ce qui correspond à notre société actuelle. 

Un autre point que je n’aborde quasiment jamais, c’est l’art work de cet album. Il est extra !…ouais après c’est mon avis, j’suis pas un exemple à suivre. La preuve, je mets de l’ananas sur mes pizzas… (Je crois que j’ai perdu la moitié de mes lecteurs là…) Un docteur zombie qui apparaît comme un super prédateur arrachant les viscères d’un humain, ça ferait un sacré film d’horreur. Ça aurait plu à George Romero. C’est d’ailleurs la mascotte du groupe. Ça colle bien je trouve. The eveslasting plague sortira donc le 19 Novembre prochain, mais attention, ce n’est pas un ouvrage à faire écouter à tout le monde. Vous voilà prévenue…