Je me rappelle cette lointaine discussion avec un certains Steven Segarra ( guitariste du groupe ) avant la création de ce dernier ( le groupe pas Steven, faut suivre un peu quand même !) ou nous parlions de notre amour respectif pour le groupe progressif « Dream Theater » et des ses vertu plus que cathartiques mais aussi et surtout par le besoin de transfert à sa musique ses émotions au travers de différents styles, techniques et thèmes
Or c’est à la sortie du troisième album de Wedingoth, projet créer en 2009 par Steven lui-même que je me suis laisser charmer par leur univers et que j’ai décider à vous le faire découvrir.
l’album comme les deux précédent la problématique de l’évolution de la planète et notre impact sur cette dernière est mis en avant par les différent titres et écriture qui compose se disque, la musique évoque notamment sur » When the world collapse » cette idée de fin du monde de terre brulée et finalement inutile à l’homme ( peut être pas si lointain …)
je vais être honnête en vous disant que je ne suis que rarement amoureux des groupes a chanteuses ou alors très difficile ( oathbreaker, windhand …) et que le chant lyrique n’est pas ma tasse de café mais il est vrai que la voix de Maud ( arrivé dans le groupe début 2014) me plait et surtout colle parfaitement au style et à l’ambiance de l’album. Car ne vous méprenez point Wedingoth n’est pas mon style de prédilection mais je me suis retrouver sur certaine chanson, notamment » the painter » et son coté très » dream theater-ien » avec c’est solo puissant et ce son me rappelant » Dark Eternal Night »
De plus l’album est vraiment un concept et est surement aussi important pour un fan que pour ceux qui l’ont composés. Car fait rare maintenant cette album possède un univers, une âme, et surtout un melting pot de différent style allant du prog au heavy en passant par le metal lyrique …
mais il garde cette authenticité qui fait de lui une œuvre à par-entière et qui mérite qu’on donne un peu de soit afin de se laisser porter par un peu de mélodie dans ce monde qui part à la dérive ( rooo merde c’est beau p’tain !)
bonne écoute et surtout bonne découverte