« The book Of Souls ».d’IRON MAIDEN. Alors je ne vais pas me lancer dans une chro dithyrambique ni une critique négative genre « ils sont vieux, ils ne se renouvellent pas, c’était mieux avant ! » Non ! Ici c’est du plaisir immédiat. Je n’avais pas autant pris mon pied à l’écoute d’un album de la vierge de Fer depuis « Brave New World ».
Comment vous dire ? MAIDEN fait du MAIDEN et il le fait bien.
On y retrouve une kyrielle de titres comme « speed of light », dont l’intro aurait pu être écrite par DEEP PURPLE, « the great unknow », »death or glory » compositions directes, et qui rappellent des morceaux old school du groupe, à l’époque où ils pondaient des choses telles que « the trooper ».
Il y a aussi « sandows of the valle », qui n’est peut-être la meilleure piste mais qui rappellera, au détour d’un plan, des tas d’époques aux fans de toujours avec ses riffs festifs et accrocheurs et ce refrain typique du groupe.
Une très bonne chose que ce «tears of clown » dont une des parties de guitare est assez inhabituelle chez MAIDEN (celle qui intervient à 0.21 secondes du début).
Faut dire que les musicos s’y sont tout mis pour composer cet album, excepté le batteur et que cela se sent. À noter un petit plus en ce qui concerne le jeu d’Adrian Smith.
Et il y a de longs morceaux.
« Empire of the Clouds » qui atteint les 18 minutes dans lequelle joue un piano, un violoncelle et d’autres arrangements classiques et qui est une des réussites de cet opus ; on y trouve également un aspect prog.
«The Book of Souls » qui perdure durant 10 minutes ou « The Red and the Black » (titre déjà porté par une compo de BLUE YOSTER CULT). J’ai lu quelque part que ce titre, qui émane du cerveau de Steve Harris, était prévisible et plein de longueurs, perso, j’aime cette compo.
En fait chacun ira de sa préférence, de son affect, de son mot à dire, mais ce MAIDEN là est vivant, habité et même si, on connaît par cœur leurs plans, leurs mélodies, leur style, je parie que pas mal de fan vont aimer cette double galette.
Porté par un son assez direct, les solos éclaboussent dans des joutes soniques qui font plaisir à entendre, style « je m’envole aux nues », la voix de Dickinson est au top, la section rythmique (et quelle section) sont maitre du jeu.
Bref ! MOTORHEAD avec « son Bad Magic » nous a mis une bonne claque, mais la VIERGE DE FER vient de sortit un album qui ravivera pas mal de passions.
Après, c’est vrai, que jadis, ils ont pondu des albums bien supérieurs à celui-là, mais c’était il y a bien longtemps.
J’ai dit supérieur ? Cependant, écoutez sans relâche, car au détour d’une ligne musicale vous aurez des surprises.
Espérons que le SLAYER à venir soit du même tonneau, pour qu’on puisse dire : « les grands Anciens sont toujours les maitres ! ».
« The book Of Souls ».d’IRON MAIDEN. Alors je ne vais pas me lancer dans une chro dithyrambique ni une critique négative genre « ils sont vieux, ils ne se renouvellent pas, c’était mieux avant ! » Non ! Ici c’est du plaisir immédiat. Je n’avais pas autant pris mon pied à l’écoute d’un album de la vierge de Fer depuis « Brave New World ».
Comment vous dire ? MAIDEN fait du MAIDEN et il le fait bien.
On y retrouve une kyrielle de titres comme « speed of light », dont l’intro aurait pu être écrite par DEEP PURPLE, « the great unknow », »death or glory » compositions directes, et qui rappellent des morceaux old school du groupe, à l’époque où ils pondaient des choses telles que « the trooper ».
Il y a aussi « sandows of the valle », qui n’est peut-être la meilleure piste mais qui rappellera, au détour d’un plan, des tas d’époques aux fans de toujours avec ses riffs festifs et accrocheurs et ce refrain typique du groupe.
Une très bonne chose que ce «tears of clown » dont une des parties de guitare est assez inhabituelle chez MAIDEN (celle qui intervient à 0.21 secondes du début).
Faut dire que les musicos s’y sont tout mis pour composer cet album, excepté le batteur et que cela se sent. À noter un petit plus en ce qui concerne le jeu d’Adrian Smith.
Et il y a de longs morceaux.
« Empire of the Clouds » qui atteint les 18 minutes dans lequelle joue un piano, un violoncelle et d’autres arrangements classiques et qui est une des réussites de cet opus ; on y trouve également un aspect prog.
«The Book of Souls » qui perdure durant 10 minutes ou « The Red and the Black » (titre déjà porté par une compo de BLUE YOSTER CULT). J’ai lu quelque part que ce titre, qui émane du cerveau de Steve Harris, était prévisible et plein de longueurs, perso, j’aime cette compo.
En fait chacun ira de sa préférence, de son affect, de son mot à dire, mais ce MAIDEN là est vivant, habité et même si, on connaît par cœur leurs plans, leurs mélodies, leur style, je parie que pas mal de fan vont aimer cette double galette.
Porté par un son assez direct, les solos éclaboussent dans des joutes soniques qui font plaisir à entendre, style « je m’envole aux nues », la voix de Dickinson est au top, la section rythmique (et quelle section) sont maitre du jeu.
Bref ! MOTORHEAD avec « son Bad Magic » nous a mis une bonne claque, mais la VIERGE DE FER vient de sortit un album qui ravivera pas mal de passions.
Après, c’est vrai, que jadis, ils ont pondu des albums bien supérieurs à celui-là, mais c’était il y a bien longtemps.
J’ai dit supérieur ? Cependant, écoutez sans relâche, car au détour d’une ligne musicale vous aurez des surprises.
Espérons que le SLAYER à venir soit du même tonneau, pour qu’on puisse dire : « les grands Anciens sont toujours les maitres ! ».