Menu

KID KAPICHI : Après les Trans Musicales, à retrouver à Paris en février

unnamed-1.png

Ça se prononce : « Kapee-chee », ils sont originaires de Hastings, Angleterre et sont pourvus d’une putain de personnalité.

Ben Beetham (guitares, chant, directeur musical),
Eddie Lewis (basse, réseaux sociaux, direction artistique),
George Macdonald (batterie, production)
Jack Wilson (chant, guitares, textes, chauffeur, gestion).

Ces quatre jeunes mecs d’une vingtaine d’années font de la musique ensemble depuis plus de 10 ans ! Ils ont bossé dans des pubs, des entreprises de maçonnerie, un concessionnaire de motos et dans un peu tout n’importe quoi.
Ils ont même fait les 3/8 pour pouvoir avoir plus de temps pour continuer à jouer encore et toujours.
Cet album est le résultat de huit ans de travail non-stop.
« Les groupes qui réussissent sont ceux qui n’abandonnent pas », dit Eddie. « Nous avons tout sacrifié. Des jobs normaux ou l’idée de s’installer… nous avons mis nos vies complètement en attente pour tâcher d’atteindre nos rêves. »

En effet, ils ont trimé dur avant d’obtenir « leur chance » le jour où Frank Carter les a invités à jouer à sa fête d’anniversaire, puis à le rejoindre en tournée. Bardés d’honnêteté et d’humour leurs textes parlent du racisme, de la pauvreté, de la santé mentale, de violence, de la frustration et même d’amour. Des chansons souvent enroulées d’un fil de fer barbelé, hérissées des chocs d’expériences vécues, de frissons et de poings serrés prêts à voler en l’air.

Après « This Time Next Year » un premier album 100% indépendant sorti en 2021, Kid Kapichi déboule aujourd’hui avec ces 11 nouvelles chansons au « beat punk » percutant et produit avec Dom Craik de Nothing But Thieves.

Sorti début 2022 leur single « New England » est sans doute leur chanson, la plus impliquée politiquement avec son couplet brûlant partagé avec Bob Vylan.
C’est une dissection brutale de la mentalité xénophobe de la Petite Angleterre, louée par Liam Gallagher sur Twitter.
C’est d’ailleurs après avoir entendu le très polémique « Partygate Party At No. 10 », que ce dernier leur a ensuite demandé d’ouvrir pour lui au Royal Albert Hall de Londres.

C’est pour cette même chanson qu’ils avaient tenté de faire la manche devant le 10 Downing Street avant que des policiers armés ne les en dissuadent… Mais cela n’arrêtera pas pour longtemps, puisqu’ils sont plus que décidé à remuer tout le monde à l’occasion de leur tournée au Royaume-Uni et en Europe.
Il ne tient qu’à vous d’y participer…

Après un passage aux Trans Musicales de Rennes, le groupe sera à retrouver à Paris au Point Ephémère le mardi 21 février prochain.