Le groupe orléanais Orpheum Black présente le magnifique clip de Strangest Dream. A propos de l’album, le groupe commente : « Cet album est la suite directe de notre EP, « ACT. I« . Avec ce nouveau set de morceaux, nous avons voulu renforcer notre univers en continuant d’explorer les registres du théâtre et du cinéma, en utilisant les codes esthétiques et les champs lexicaux qui leur sont propres, mais également au travers de la narration. Car dès le début, «SEQUEL(S)» à été écrit comme une odyssée : au travers des paroles et de la manière dont nous avons façonné certaines sonorités, les morceaux sont connectés les uns aux autres et racontent, chapitre après chapitre, la suite directe des aventures contées dans le premier EP. »
En ce qui concerne le clip et le stitre Strangest Dream : « Pour le scénario et le tournage de ce clip, nous voulions vraiment nous concentrer sur l’histoire. Exit les instruments et les micros, place à l’acting. L’univers de cette chanson étant très onirique, il nous fallait une touche plus « plastique » que nos précédentes vidéos. C’est donc tout naturellement que nous nous sommes tournés vers Romain Evrard qui est précisément dans ces thèmes là. Le tournage s’est déroulé sur trois jours, une partie en forêt et une autre partie en intérieur, où nous avons dû construire une piscine sur la scène de l’Astrolabe (Orléans) pour obtenir un miroir d’eau. Ce fut intense mais le rendu nous plait particulièrement.
Ce morceau aborde un thème très central au prochain album qu’est la connexion et la puissance des liens pouvant unir des personnes entres-elles peu importe le type de distance. C’est le 4eme morceau de l’album donc l’histoire se déroule en plein milieu de la quête de sens racontée tout au long de l’album « SEQUEL(S) » et est narrée parallèlement par les deux protagonistes du film au travers du prismes des rêves qu’ils font et qu’ils ne peuvent expliquer. Le Voyageur, guidé par une étrange sensation, se retrouve attiré dans le noir par une entité séraphique inconnue mais pourtant familière. La Muse, alors délivrée de sa prison de vide, reprend peu à peu ses forces et pousse Le Voyageur à la suivre. Aveuglé par son aura, il finira alors lui-même prisonnier de ce monde sans lumière. »