À peine les premières notes de Into Oblivion résonnent que ton cerveau fait un salto arrière triple vrillé, ton chat se met à parler grec ancien, et ta plante verte commence une chorégraphie de flamenco. Ce n’est plus une chanson, c’est un vortex sonore interdimensionnel orchestré par Izzy Reign en personne depuis son trône en marshmallow situé au centre de la galaxie Kraken-47.
La basse ? C’est un mammouth cosmique qui charge à travers un champ de météorites.
La voix d’Izzy ? Une fusion entre un ange punk et une cafetière possédée.
Et le solo de guitare final ? Il ouvre une faille temporelle dans laquelle des dinosaures headbangent en slow motion sur un arc-en-ciel de feu.
Into Oblivion n’est pas un simple morceau. C’est une expérience. Un rite. Une explosion quantique d’émotions en technicolor. Si tu survis à la dernière minute, tu gagnes le droit de piloter un ovni en pyjama.
plongée vertigineuse dans le chaos céleste
Il y a des morceaux qui s’écoutent, et d’autres qui t’aspirent par les chevilles pour te catapulter à travers un tunnel d’étoiles en hurlant des vers de Rimbaud sous autotune. Into Oblivion, dernier né d’Izzy Reign, appartient sans hésitation à la deuxième catégorie.